Si vous cherchez des articles publicitaires ou des cadeaux d’affaires, Émilie Congy est à votre écoute. Cadoé propose aux entreprises, aux collectivités et aux associations, un accompagnement dans la production de produits promotionnels.

L’entreprise Cadoé est arrivée sur le territoire Lamballais en 2010.
Émilie, en montrant un crayon “bendy” marqué “Ville de Lamballe”, explique : "c’est l’une de mes premières commandes ! Je l’ai livrée avant d’arriver à Lamballe.”

Émilie sait s’adapter à vos demandes grâce à sa connaissance et son savoir-faire dans le métier. Sa formation de commerciale, suivie d'un début de carrière dans un atelier de marquage, lui a permis d'acquérir les connaissances nécessaires pour vous proposer des produits publicitaires et des techniques de marquages les plus adaptés pour vos projets.

‘“Dans le passé, j’ai travaillé dans un atelier de marquage. J’étais représentante pour un fournisseur. Ce qui fait que techniquement, je sais expliquer les différents process. Je connais les contraintes, les particularités de chaque produit. J’aime également répondre aux problématiques des clients par rapport à des espaces de marquages par exemple. Je vais pouvoir leur expliquer les différentes techniques utilisées. Mon accompagnement personnalisé et mes conseils techniques sont clairement des atouts pour les clients.”

Son accompagnement ne s’arrête pas une fois la production lancée, elle suit le projet jusqu’à la fin! Émilie suit la production de vos produits et elle regroupe même les commandes de plusieurs fournisseurs pour pouvoir venir les livrer elle-même lorsque c'est possible. La relation avec ses clients est clairement un point qui la passionne.

Pendant sa carrière Émilie a pu suivre l’évolution du marché. Aujourd’hui, on y trouve une grande diversité d’objets et la qualité des produits personnalisables est montée en gamme. De plus, les techniques de marquage se sont améliorées.

La tendance du moment… la RSE . "Les clients recherchent de plus en plus des articles en matière recyclée ou éco-responsable qui puissent être recyclables et réutilisables. L’engagement RSE dans les entreprises est une tendance qui est en constante augmentation. Par exemple, j’ai vendu beaucoup de gourdes, notamment aux entreprises du BTP, où les bouteilles en plastiques ont été retirées.”D’autres exemples de commandes : les lunettes de soleil en fibre de paille et de bambou logotées ; du papier avec des graines intégrées Made in France, personnalisable, imprimable…

Émilie possède un portfolio assez riche de fournisseurs français, Européen, ... Elle a à sa disposition un large choix d’objets, de textiles et de cadeaux d’affaires, qu’elle peut vous montrer en échantillon, pour vous aider à trouver l'objet qui répond à vos attentes et à vos critères.

Que vous soyez à la recherche d'objets publicitaires classiques comme les tote bags ou que vous souhaitiez offrir des produits nouveaux et tendances, Cadoé est prête à vous accompagner dans votre campagne de promotion.

Prendre rendez-vous :
Du lundi au vendredi de 9h à 17h

Tel. 02 96 31 01 35

mail : information@cadoe-pub.fr

Prendre soin de soi au naturel, retrouver l'équilibre entre le corps et l'esprit, voilà la passion qui anime Céline Langlais, thérapeute et consultante santé spécialisée dans la médecine traditionnelle chinoise.

 Avec une formation initiale en pharmacie et une expertise variée en homéothérapie, phytothérapie et aromathérapie, Céline a toujours eu à cœur d'apporter des conseils bien-être, mais c'est dans la médecine chinoise qu'elle a trouvé sa véritable vocation.

Après des années passées à conseiller et accompagner les gens dans une pharmacie traditionnelle, Céline a décidé de suivre son cœur et de créer une entreprise de cosmétiques bio, tout en continuant à prodiguer des conseils en bien-être. Mais son désir d'aider les autres l'a conduite plus loin encore. Passionnée par la médecine chinoise et ses approches holistiques, elle s'est tournée vers le shiatsu, une forme d'acuponcture sans aiguilles, privilégiant les points de pression sur le corps pour rétablir l'équilibre énergétique. "La médecine chinoise crée une corrélation entre le corps et les émotions ressenties", explique Céline. "Il est essentiel de comprendre comment les émotions, le climat et même la nourriture peuvent impacter notre santé."

Cette approche unique a conduit Céline à explorer l'auriculothérapie, une pratique qui utilise la lecture des oreilles pour soulager divers maux, allant du stress aux douleurs articulaires, et en soulageant également  durant différents passages de vie particuliers tels que les périodes de deuil ou de transition comme la ménopause. Formée par l'éminente Nadia Wolf, Céline a intégré cette méthode à son répertoire, offrant ainsi à ses clients une gamme étendue de solutions pour retrouver bien-être et équilibre.

"Voici des mots qui me tiennent à cœur: santé et joie de vivre", confie-t-elle. "Je cherche à raviver cette petite étincelle en chacun, à faire circuler la lumière dans le corps et l'esprit." En effet, pour Céline, chaque séance de shiatsu ou d'auriculothérapie est une invitation à l'écoute attentive, à comprendre les besoins spécifiques de chaque individu pour mieux cibler le problème et apporter un soulagement durable. Que ce soit par exemple pour se libérer de dépendances telles que le tabac ou l'alcool, pour retrouver un sommeil réparateur, ou encore pour réguler l'appétit et favoriser la perte de poids, Céline offre un accompagnement personnalisé et bienveillant et s'adapte à toute demande.

Repartez apaisé, avec un sentiment de confort dans le corps et l'esprit, promet Céline à ceux qui franchissent le seuil de son cabinet. Car pour elle, la santé véritable ne se limite pas à l'absence de maladie, mais se manifeste par un équilibre harmonieux entre toutes les dimensions de l'être.

Si vous aussi, vous aspirez à retrouver l'harmonie naturelle et à cultiver une vie empreinte de santé et de joie, n'hésitez pas à contacter Céline Langlais. Laissez-vous guider vers un bien-être profond et durable, et redécouvrez tout le potentiel de votre corps et de votre esprit grâce à la médecine traditionnelle chinoise.

Un parc grandissant

Le parc existe depuis 2005, au départ, le parc était consacré principalement à l’accrobranche. Valentin a rejoint l’équipe en 2018 en tant que saisonnier et a grimpé les échelons au fur et à mesure pour devenir, en 2021, le responsable du parc. “C’est un métier polyvalent qui demande une facilité d’adaptation aux différentes situations”.

Indian Forest s’est développé au fil des ans et compte aujourd’hui 250 ateliers et 17 parcours d’accrobranches ! On retrouve notamment différents parcours tel que l’hirondelle (voyage autour du parc), le renard (pas de plateformes, tout le temps perché dans les arbres)… Il y en a pour tous les niveaux : débutant, sportif, familial, …

Frileux de l’accrobranche (Vous avez le vertige) ? Pas de panique, essayez-vous au crazy énigma, une chasse au trésor sportive, ou amusez-vous lors d’une partie de paintball ou bien encore de laser-game. Vous pouvez également vous challenger à terre lors d’une course d’orientation.

Amateurs-rices ou confirmé-es de sensations fortes ? Testez les tyroliennes du parc, il y en a en tout 52 et la plus grande atteint les 360 mètres !

Indian Forest peut compter sur une clientèle fidèle “Il y a des familles qui reviennent tous les ans. C’est très intéressant car d’année en année, nous observons l’évolution des enfants sur les parcours et nous en profitons pour apporter différentes modifications sur ces derniers”. explique Valentin.

La sécurité avant tout

“L’hiver nous réalisons des expertises arboricole, vérifions tous nos parcours, procédons à l’entretien du parc et travaillons sur la création de nouvelles activités, de nouveaux parcours.” Ce travail prend énormément de temps. Nous avons à cœur d’assurer la sécurité des visiteurs avant, pendant et après la saison.

Maître mot : Convivialité

Selon Melvin et Théo employés au parc, l’un des meilleurs compliments qu’ils puissent recevoir est “on reviendra !”. “Cela montre le bonheur et le plaisir qu’ont pu ressentir les visiteurs pendant leur journée” explique Melvin.

Après l’effort, le réconfort ! Posez-vous sur la nouvelle terrasse où vous seront servis différentes boissons, il y en a pour tous les goûts, pour les petits comme les grands !

L’inclusion, un leitmotiv

L’inclusion est également un leitmotiv pour Indian Forest. “Il est important pour nous d’inclure davantage les personnes en situation de handicap. Des demi-journées sont organisées avec des personnes en situation de handicap mental” se confie Valentin.
Une activité qui leur procure de nouvelles sensations, idéales pour leur développement personnel.

En résumé, Indian Forest procure un boost de sensations et de beaux moments suspendus (dans tous les sens du terme). Vous y rencontrez une équipe motivée, passionnée et à l’écoute, prête à vous accueillir tout au long de l’été !

Anne a la passion paysanne dans le sang. Depuis ses champs, dans lesquels elle sème elle-même ses céréales, jusqu’à la fabrication maison de ses pains au levain, elle a à cœur de nous offrir du bon pour les papilles, pour la santé et pour l’environnement.

Un retour à l’héritage familial

On se croirait presque dans La petite boulangerie du bout du monde (de Jenny Colgan) mais sans l’île perdue en Cornouaille. C’est plutôt du côté de Saint-Aaron, à moins de 10 minutes du centre de Lamballe, qu’Anne Méheust reprend la ferme de ses parents. Celle où ses parents et elles ont grandi car elle était exploitée par ses grands-parents à l’origine. « Mes parents nous ont toujours dit à ma sœur et moi « faites des études dans le droit, le commerce ou la finance. Comme ça au moins si un jour vous reprenez une entreprise vous saurez vous débrouiller avec la paperasse et les contrats » alors j’ai fait des études de droit et ma sœur dans le commerce ».

Après plusieurs emplois dans le droit puis la communication et diverses missions pour des administrations elle se reconvertit à, tenez-vous bien, paysanne bio – meunière – boulangère mais aussi vendeuse, livreuse, community manager, voire rénovatrice de bâtiment car il n’y avait pas encore de fournil à son arrivée. « C’est la diversité des activités qui me plaît, c’était ce qui me plaisait aussi dans mon dernier emploi, un peu fourre-tout ».

C’est en prenant plaisir à faire son pain chez elle pour ses enfants et un certain ras le bol des systèmes administratifs qu’Anne réalise qu’elle aimerait reprendre l’activité de ses parents, et y ajouter sa « pâte ». Josette et Michel étaient paysans et cultivaient des pommes de terre, des céréales et du chanvre, en bio depuis 1998. À la reprise, Anne se dit qu’elle peut valoriser toutes ces merveilleuses matières premières en fabriquant du pain, comme elle l’a toujours fait chez elle. Un bon produit « maison » à partir de sa farine issue de ses cultures !  Elle continue de cultiver des pommes de terre qui sont également disponibles en vente à la ferme et à la Binée Paysanne.

Mise à jour enclenchée !

C’est parti pour plusieurs stages en boulangerie ! Anne enchaîne sur une formation Responsable d’Entreprise Agricole à distance pendant 18 mois, et passe ses examens en visio avec succès. Vient alors le moment de l’installation. Grâce à ses études, elle est plus à l’aise avec le côté administratif et son expérience en chargée de com’ lui permet de s’installer aussi sur les réseaux sociaux. Avec son conjoint, ils ont déjà rénové leur maison alors Anne s’y connaît en travaux (encore une corde à son arc, on n’en finit plus de les compter). Elle décide de rénover tout un bâtiment de la ferme, inutilisé depuis 25 ans ! « Mes grands-parents l’avaient construit pour du cochon, puis mes parents l’avaient repris pour du lapin une année et demi, mais ensuite il a été oublié… Le pauvre ! » Il faut tout vider, et tout refaire du sol au plafond. « Au début on est infatigable ». Avec l’aide de son conjoint et ses deux enfants ainsi que de ses parents, le fournil prend forme. Il n’y a plus qu’à installer le grand four à bois « Il passait tout juste par la porte ! » se souvient-elle. Il ne manque plus que le bardage extérieur pour que la Cab’Anne à Pains soit complète ! « L’idée d’un nom simple est venue toute seule après quelques propositions infructueuses faites à mes proches. Je m’appelle Anne, je fais du pain » et ce dans un fournil recouvert de bois. « Du coup les gens m’appellent par mon prénom, ils sont contents et moi aussi, ils savent qui je suis ».

Ses maîtres mots : être accessible, digne de confiance et apporter de la qualité

Il n’y a pas de plus grande vérité que de dire qu’Anne Méheust est fière de son travail, qu’elle décrit sans hésitation comme enrichissant. C’est d’ailleurs pour cela que ses clients lui font confiance. Ils savent qu’elle a à cœur de gérer sa production d’un bout à l’autre pour apporter ce niveau de qualité dans leur pain quotidien. « C’est gratifiant, je me sens utile dans une certaine mesure, beaucoup de gens au marché me rapportent qu’ils peuvent enfin consommer du pain car le mien est sans additif et contient moins de gluten* » et ce grâce aux 8 variétés anciennes de céréales qu’elle a choisi de cultiver. « Je sais ce que je produits et les clients aussi, ils posent des questions, on échange et j’ai des retours très constructifs sur mes produits » pendant les marchés mais aussi à sa boutique ou quand elle tient un des dépôts de la Binée Paysanne, dont elle fait partie. C’est un regroupement de paysans locaux bio souhaitant garder de petites structures. « Ça aide de pouvoir échanger avec d’autres paysans, ils me rassurent… » Parce que des ratés il y en a eu et il y en aura encore. « Ma toute première fournée pour la Binée c’était du petit épeautre, j’avais oublié le levain, j’ai fait des briques… Je n’ai pas livré mes pains », confie-t-elle avec humour aujourd’hui. Bien entourée, Anne décrit ses clients comme une petite famille à part. « Je vois des petits grandir, c'est trop mignon » et continue avec émotion « Ils se souviendront peut-être plus tard qu’ils allaient voir « Anne » le matin au marché avec leur ass mat’. Je leur donne un bout de pain et ils repartent en souriant avec des « hum hum », les enfants ça ne ment pas ».

 « Ça se fait »

Avec des journées parfois de plus de 15h et malgré quelques moments de doutes, elle cultive ses compétences au quotidien et apprécie d’être littéralement au four et au moulin. « Quand on fait des stages chez d’autres paysans boulangers, on sait que le travail sera physique et soutenu, mais on ne voit pas l’après de la journée. » Car derrière le fournil et la livraison il y a les factures, les commandes à préparer, préparer la prochaine fournée, mettre le blé à trier, la farine à faire… « Ce sont des journées sans fin ».

Alors quand vous lui demandez comment elle arrive à gérer tout ça, elle vous raconte une petite anecdote. « À l’un des stages que j’ai suivi pour le pain, j’étais complètement stressée. Parce que plus on fait des stages et plus on se rend compte que personne ne fait son pain de la même manière, en fait on se dit "je ne sors pas avec la recette miracle, il faut que je trouve ma recette". Et ma tutrice à ce moment m’a dit « T’inquiète pas Anne, ça se fait ». J'ai gardé cette petite phrase en moi et oui en fait tout se fait. C’est comme le pain, les cultures, les travaux « on échoue, okay, on recommence » et ça finit par fonctionner.
 

« La confiance ne se demande pas, elle se mérite. Si l'on veut l'acquérir, il faut être vrai, dans ses paroles et ses actions, car l'authenticité, est la clef, de l'humilité...» Joëlle Laurencin.

Anne Méheust n’a d’autre but que d’apporter sa petite « brique » (d’épeautre ?) à l’édifice du manger mieux et local, en plus ils ont un goût de réconfort… Alors dépêchez-vous, car ils se vendent « comme des petits pains ».

*Protéine de céréale provoquant chez certaines personnes des problèmes de digestion ou des allergies.

La Cab’Anne à Pains, 3 L'hôpital, Saint-Aaron - 22400 LAMBALLE-ARMOR,
Tél. 06 60 40 46 84. 

Au cœur des Côtes d'Armor, dans la charmante ville de Lamballe, réside un véritable passionné du sport et de l'entrepreneuriat : Lionel Haguet. À la tête de Génération Sport depuis 25 ans, Lionel incarne l'engagement et la détermination d'un homme qui a consacré sa vie à apporter qualité, conseil et innovation dans le domaine des équipements sportifs.

L'histoire de Lionel et de Génération Sport est celle d'une évolution constante, d'un cheminement marqué par une vision claire et un dévouement sans faille envers sa clientèle. Originaire d'Hénansal, Lionel a posé les premières pierres de son entreprise en 1999 à Saint-Alban avant de prendre le pari audacieux de déménager son commerce à Lamballe en 2015. Un choix stratégique pour être au coeur de la clientèle avec l'envie de l'élargir et mieux répondre à ses besoins et aspirations.

Chez Génération Sport, l'engagement va bien au-delà de la simple transaction commerciale. C'est une véritable histoire de passion et de service rendu. Lionel a su transformer son expérience dans la grande distribution et sa passion pour le football en une entreprise florissante, offrant aux clubs, aux associations, aux collectivités et aux professionnels, des solutions sur mesure, allant de la personnalisation de tenues sportives au développement d'équipements individualisés : accessoires, bagagerie, goodies ... 

Mais ce qui distingue véritablement Génération Sport, c'est l'approche personnalisée et le service attentif que Lionel offre à chaque client. Toujours à l'écoute, toujours prêts à conseiller et à innover, ils se positionne comme un véritable partenaire dans la réussite sportive de ses clients.

Pour Lionel, l'avenir de son entreprise est synonyme de croissance et d'adaptation continue aux besoins du marché. Avec une vision tournée vers le local et une volonté affirmée de développer la vente en ligne tout en renforçant sa présence physique. Des boutiques dédiées aux clubs sur le web, une expansion sur internet, la proposition des dernières tendances au niveau des goodies, des équipements, des matières textiles ... autant de projets qui témoignent de son engagement à rester à la pointe de l'innovation et à servir au mieux sa communauté sportive.

Pour Lionel, chaque équipement raconte une histoire de performance, d'engagement et de dépassement de soi. Entrez dans l'aventure et découvrez l'excellence en matière d'équipements sportifs en contactant Génération Sport.

En 2024, le Musée Mathurin Méheut choisit de s’associer avec le Musée Yvonne Jean Haffen de Dinan pour dévoiler une page intime de la vie du peintre : la relation épistolaire avec sa disciple et amie sur plus de 30 ans…

Mathurin Méheut, peintre de Bretagne

Pénétrer dans la salle d’exposition du Musée consacrée au peintre Lamballais c’est découvrir la Bretagne avant tout. Le monde également car Méheut était un artiste voyageur qui savait capturer de son œil photographique un instant, une scène, une lumière où que son chevalet se pose.

Mais quand au détour d’un mur, “L’été, le Pardon”, peinture au format saisissant (plus de 5 mètres de long), se dévoile à nous, visiteurs néophytes, nous sommes saisis. Il n’y a qu’un pas à faire pour rejoindre ces Bretonnes aux manteaux noirs parcourus des reflets que leur impose le soleil de l’île de Batz, un pas et nous faisons partie de la procession, entre les pierres levées et les maisonnettes de chaume, vers l’église en pierre qui se dresse au loin. Elle est baignée de lumière, cette oeuvre. Elle met en lumière le quotidien un peu suranné des campagnes bretonnes avant le bouleversement de la modernité. Finalement, c’est un retour aux sources, un cliché du passé qui revient nous raconter la vie d’antan…

Les oeuvres qui l’accompagnent dans l’exposition permanente du Musée nous racontent la Bretagne au travers de ses gens, de sa mer aux teintes d’émeraude, de sa faune et de sa flore. Méheut n’était pas qu’un peintre, il était céramiste, décorateur…  Observez attentivement les “Ramasseuses de sel à Guérande” qui nous plongent dans le monde des paludiers ou le magnifique service de céramiques du service de la galette réalisée en collaboration avec la faïencerie Henriot de Quimper sur lequel des Bretons s’activent, travaillent, créent la galette…

Des lettres, des œuvres

Et puis, après un tour en Bretagne, un voyage en Provence, ou même au Japon au travers d’œuvres toujours plus vivantes, nous pénétrons dans la vie de l’artiste voyageur grâce à l’exposition temporaire “Au coeur de la rencontre” . En 2024, dans notre monde saturé de messages numériques, nous voilà en train de (re)découvrir la beauté d’une relation épistolaire. Des lettres, par dizaines, des oeuvres surtout, car lorsque Méheut écrivait à son amie Yvonne Jean Haffen, il dessinait d’abord son ressenti fugace, un instant, un fragment de moment, puis complétait la lettre de quelques phrases qui se devaient de rentrer dans les espaces laissés vierges par sa gouache.

Les amis, le maître et la disciple, se rencontrent en 1923, à Paris. La peinture les lie et tous les jours ou presque, pendant 30 ans, ils s’échangent ces courriers malgré les distances géographiques que la Seconde Guerre Mondiale ou les voyages de Méheut mettront entre eux.

En 1930, le peintre est sollicité pour réaliser une fresque sur les murs du Hall des Nations Heinz à Pittsburg. De Lamballe aux États-Unis, il n’y a qu’un pas pour le maître, mais Méheut est fatigué, ses rhumatismes l’empêchent de mener à bien son immense commande. Alors il fait appel à Yvonne, qui traverse l’Atlantique pour le seconder, l’appuyer. Et c’est elle que l’on voit là, sur le papier esquissé de quelques coups de pinceaux rapides mais précis, concentrée, peignant elle-même, assise sur une échelle. Elle est légère, gracieuse, créative. Et Mathurin Méheut ne peut s’empêcher de la croquer avec sa blouse blanche et ses souliers rouges qui font écho aux vives couleurs de la fresque. On découvre dans l’exposition une photographie d’eux, sur un échafaudage, que l’on imagine vertigineux. Lui debout, elle, assise, comme sur la lettre qu’il lui enverra par la suite en souvenir de l’aventure américaine. Cette relation indéfectible s’illustre au gré de leur correspondance et des années.

Nous suivons l’Histoire tout en suivant leur histoire dans cette magnifique et sensible exposition : Les couleurs des quatre saisons saisies par Méheut par la fenêtre de l’atelier de son amie, à Dinan, la guerre avec ses drapeaux aux croix gammées qui balafrent Quimper, d’autres voyages encore, vers l’Inde, ou les moments tranquilles vécus en famille en Provence…

Les plus jeunes d’entre nous admirent les couleurs et la façon particulièrement palpable avec laquelle Méheut représente les animaux et les plantes. Quant aux plus âgés, ils évoquent au travers de la peinture leurs souvenirs, leurs propres visions d’une Bretagne et d’un monde que le peintre nous a légué au travers de son œuvre.

Informations pratiques : 
¤ Exposition du 6 avril 2024 au 5 janvier 2025, “Au coeur de la Rencontre, lettres illustrées de Mathurin Méheut à Yvonne Jean Haffen”. 
¤ Horaires et tarifs disponibles sur le site internet : www.musee-meheut.fr 
¤ Le Musée organise des ateliers, animations et manifestations toute l'année. Voir le programme.  
¤ Bénéficiez d'une réduction à l'entrée du Musée Yvonne Jean Haffen de Dinan sur simple présentation de votre billet d'entrée du Musée Mathurin Méheut. 

Vos vacances approchent enfin ! Vos sacs sont prêts, ne reste plus qu’à trouver où dormir. On vous aide avec un gîte au centre de tout : vous verrez ce que vous voulez, quand vous le voulez et à tête reposée !
 

Posez vos valises et… soufflez, vous êtes arrivés !

Bienvenue au Gîte Al Lanneg du breton « La Lande » en référence au lieu-dit où vous le trouverez*. À moins de 10km de la mer et moins de 5km du centre-ville de Lamballe, cet hébergement est central pour qui veut rayonner sur tout le secteur. M. Devred vous accueillera avec plaisir dans son gîte à l’allure rustique et entièrement rénové, surplombant la campagne. Il y a de la place pour 2 à 7 personnes avec 2 chambres au rez-de-chaussée, chacune avec un lit 2 personnes, et même un canapé convertible dans le salon. À l’étage, vous trouverez une belle mezzanine en sous pente offrant un espace de détente avec un lit simple à tiroir sous le matelas fournissant un 2e lit « au sol » et 2 lits simples au fond en mode « cabane ».

Tout beau, tout neuf : c’est tellement agréable…

Du sol en tomettes (avec chauffage au sol s’il vous plaît) à la charpente : tout a été refait avec la précieuse aide d’une architecte d’intérieur. Les travaux auront duré plus d’un an pour vous offrir aujourd’hui une pièce de vie au volume impressionnant dans une ambiance relaxante. Le choix des matériaux et la décoration allient avec goût le charme de l’ancien à une touche tendance. Des meubles anciens en bois très bien conservés côtoient une décoration remise totalement au goût du jour. Les poutres apparentes sont peintes en clair et les fenêtres de toit illuminent le salon. Les quelques murs aux motifs végétaux contemporains ajoutent du pep’s et s’harmonisent parfaitement à l’ensemble. La cuisine moderne et toute équipée est complétée par un espace buanderie avec réfrigérateur et tout le nécessaire pour le linge. Dans la salle d’eau au rez-de-chaussée, les pierres grises de la douche à l’italienne insufflent à la pièce un petit esprit méridional.

On s’installe dehors ?

Pour (petit) déjeuner, on profite de la belle terrasse de 20m² donnant sur le grand jardin, entouré d’une haie bocagère. En contre-bas, c’est une jolie vue sur un pâturage fleuri de pâquerettes qui vous tend les bras. Le passage est direct entre la cuisine et la terrasse par la grande baie vitrée orientée Ouest - Sud-Ouest. De ce côté, les murs extérieurs en pierre sont d’origine, ils apportent au gîte ce cachet « breton » que l’on aime tant. L’été, la zone végétale du système de phytoépuration forme un bel ensemble fleurit… Le temps semble passer plus lentement quand on s’y installe, détente assurée !

En famille, en couple ou entre amis, ce lieu vous permettra de profiter d’un séjour revigorant. Les cavaliers sont eux aussi les bienvenus, pour randonner avec leur monture le long des sentiers ou le temps d’un concours au Haras National de Lamballe…
Le jardin est accessible au pâturage dès le mois de mai.

* À bien discerner sur votre GPS de « Les Landes » autre Lieu-dit d’Andel.